monsieur et madame x

... et puis s'en vont...

Pour des raisons X (...), Y et Z, nous avons déménagé.

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A tout de suite...

La ceinture protège, on le sait. Et pourtant, une seule envie : la foutre en l'air.
La vitesse est là. Les paysages défilent. Bonjour veaux, vaches, cochons, poulets. Tu parles ! On n'en a rien à cirer !
Une main sur la nuque, les yeux se ferment, résultat du balancement.
Une main sur le jeans, les yeux s'entr'ouvrent, résultat du gonflement.
On malaxe, on fouille, on la sort. Un peu. On peut pas plus. Tout gêne.
Mais c'est pas grave, on prend ça comme un défi. Juste une petite tête qui sort, on va lui faire sa fête.
On lèche ses doigts d'abord, sa main entière ensuite.
On caresse d'abord, on lustre après.
Aucun répit.
La route est longue.
Les lignes blanches derrière la ligne rouge, dépassée.
Et puis, tout s'accélère, ca défi-le.
Obligée de se détacher, de se pencher et de manger ce que l'on peut attraper.
La langue tourne, prend les virages. C'est la queue.
La seule qui vaille.
La vaillante.
Putain !
Encore.

J'aime ça.
Le sucer en rentrant du travail.

Comme hier soir.
On rentre. J'essaie avec hâte la belle lingerie que je viens de m'acheter (on vous en reparle vite...), je me regarde dans la glace, il est à côté et me dit : "suces-moi.".
Il me montre un tabouret pas loin. Je m'assois. Il ouvre les boutons de son jeans et fais sortir sa belle queue bien droite. Je l'avale directement. Je la fourre dans ma bouche comme une affamée. Je la sens bien dure, déjà prête. Je sais qu'il ne faudra pas longtemps pour qu'il jouisse. Son jeans me gêne pour le manger entièrement, il l'enlève. Je peux y aller de plus belle. Mes mains serrent, ma bouche s'affole, ma langue remue. Ca secoue. Ca secoue. Ca se-couilles ! Ca gicle de partout, en l'air, sur mes seins gonflés, sur ma langue rose. Il me sourit. Je suis trempée. De partout.